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Dodji, diplômé 2017 en Direction Artistique

Je veux donner sens à la vie, à beaucoup de personnes, c’est mon objectif.

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Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Dodji Abah-Dakou, j’ai 37 ans, je suis Togolais, et jeune diplômé en Direction Artistique (sourire)

En quoi consiste ton travail ?
Mon travail aujourd’hui est très polyvalent. Je me sens beaucoup plus à l’aise en identité visuelle. Le fait de donner vie à une marque et de la développer, c’est-à-dire raconter une histoire (je suis passionné par le storytelling).

Le métier que tu voulais faire en entrant à l’ESAM Design ?
En arrivant, je me suis dit que j’allais sortir avec pleins de connaissances mais n’avais pas d’idée plus précise.

Le métier que tu voulais faire en sortant de l’ESAM Design ?
Je souhaite faire plus du design graphique et devenir Directeur Artistique. Ouvrir une agence et une imprimerie à Dakar.

Le métier que tu voulais faire quand tu étais petit ?
Architecte

Quel parcours scolaire as-tu eu avant l’ESAM Design ?
Après mon bac scientifique, j’ai fait une licence en génie électrique et informatique, une licence professionnelle en graphisme et multimédia et je viens de finir le cursus de Directeur artistique à l’ESAM Design.

DIN ou HELVETICA ?
Je suis entre les deux, car la Din est beaucoup utilisée pour les normes, alors que l’Helvetica est une typo neutre qui s’adapte.

Ton projet de fin d’étude ?
Pour ma campagne, j’ai choisi un thème citoyen, j’ai travaillé pour l’association "Let’s do it". Pour mon mémoire j’ai choisi de parler de la solitude, pour des raisons personnelles car je pense que chacun se sent seul au fond.

Ton meilleur souvenir à l’école ?
Mon meilleur souvenir est le premier contact que j’ai eu avec la directrice parce que je n’ai pas l’habitude d’être à l’aise avec des gens que je ne connais pas mais avec elle j’ai tout de suite été bien.

Ton pire souvenir à l’école ?
Mon pire souvenir c’est le premier cours de Rough, car je n’en avais fait avant. Je me souviens très bien du sujet, c’était pour la devanture du salon de l’agriculture.

CMJN ou RVB ?
RVB, parce que ça donne beaucoup plus de liberté.

Comment as-tu financé tes études ?
Je faisais des identités visuelles en freelance et mes parents m’ont aidé pour le reste.

Quel message ou conseil donnerais-tu aux étudiants suivant la formation en Design graphique ?
Réfléchissez bien ! Il ne faut pas faire de la communication visuelle juste parce qu’il y a de l’argent dans le milieu, il faut savoir ce que l’on veut dans la vie.

Si tu étais un héros, lequel serais-tu professionnellement parlant ?
Robin des bois

C’est quoi la créa pour toi ?
La créa c’est de donner vie à quelque chose qui n’existe pas, donner vie à une identité. Pour moi la créa dépasse le cadre physique, elle entre dans le cadre spirituel.

Tu te vois où dans 10 ans ?
Je veux donner sens à la vie à beaucoup de personnes

Ton projet le plus kiffant ?
"Let’s do it", ma campagne de fin d’étude et mon projet personnel d’un magazine sur le jour et la nuit.

Ton projet le plus scandaleux ?
Un projet d’édition sur les armoiries

2H ou 2B ?
2H, car il y a de la rigueur.

Photo ou Illustration ?
Illustration

Ton passage à l’ESAM Design en trois mots ?
En un seul : désir.
Parce que j’ai désiré quelque chose, je l’ai touché et je me suis remis en question.

Un dernier mot ?
J’ai beaucoup apprécié l’ambiance ici et beaucoup la directrice, car j’ai vue en elle quelqu’un de sincère. Je me souviens de quelque chose qu’elle m’a dit : « Je sais ce que l’on vous fait subir ici ».



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